Errance à soi…
Errance à soi et produits de l’autre.
Les grands voyageurs comme aliénés et sans bagage
cherchent encore dans le creux du fond de soi des couleurs marines.
Vacuité grondante en lames de fond de ‘je’ est un autre,
écrase puis élève...au bord à bord d’un abordage,
ironise encore plate et puissante sur la vague des ‘je’ qui badinent.
Se meuvent les ‘j’ en bafouilles dans les terres d’asile mal arrimées,
des moments d’ère de mal-aimés.
Toujours l’errance erre
C’est si peu dire.
Errance à soi et produits de l’autre.
Infusent les héritages artistiques que ceux contemporains diffusent
des parfums aux réminiscences d’erre desquels ils se vautrent,
animés des élans d’un souffle suspendu puis abusent
sur la feuille vide, plan-cadre à l’abri des photos réalités
tâtonnent, effacent, esquissent, suggèrent,..
Errance du trait tenté fluide et dans sa nudité,
errance aimée des épaisseurs colorées invite l’oiseau-lyre.
Toujours l’errance erre
C’est si peu dire.
Errance à soi et produits de l’autre.
Joindre en rencontre ‘je’, l’autre et l’autre de l’autre comme nôtres.
Solitude aimée d’un espace vide bruissant des inconscients
tel navire errant aux intervalles des souffles silencieux
flotte à l’unisson au flux des mots légers conscients ;
moment suspendu à la barre de nos singulières errances
sur les vagues blanc bleu de ‘je’ est un autre désireux
aux restes du silence, l’acte créateur au bord..est en partance.
Toujours l’errance erre
C’est si peu dire.
Nathalie L E V R A Y
art-thérapie contemporaine
médiation artistique
Niort
Errance à soi et produits de l’autre.
Les grands voyageurs comme aliénés et sans bagage
cherchent encore dans le creux du fond de soi des couleurs marines.
Vacuité grondante en lames de fond de ‘je’ est un autre,
écrase puis élève...au bord à bord d’un abordage,
ironise encore plate et puissante sur la vague des ‘je’ qui badinent.
Se meuvent les ‘j’ en bafouilles dans les terres d’asile mal arrimées,
des moments d’ère de mal-aimés.
Toujours l’errance erre
C’est si peu dire.
Errance à soi et produits de l’autre.
Infusent les héritages artistiques que ceux contemporains diffusent
des parfums aux réminiscences d’erre desquels ils se vautrent,
animés des élans d’un souffle suspendu puis abusent
sur la feuille vide, plan-cadre à l’abri des photos réalités
tâtonnent, effacent, esquissent, suggèrent,..
Errance du trait tenté fluide et dans sa nudité,
errance aimée des épaisseurs colorées invite l’oiseau-lyre.
Toujours l’errance erre
C’est si peu dire.
Errance à soi et produits de l’autre.
Joindre en rencontre ‘je’, l’autre et l’autre de l’autre comme nôtres.
Solitude aimée d’un espace vide bruissant des inconscients
tel navire errant aux intervalles des souffles silencieux
flotte à l’unisson au flux des mots légers conscients ;
moment suspendu à la barre de nos singulières errances
sur les vagues blanc bleu de ‘je’ est un autre désireux
aux restes du silence, l’acte créateur au bord..est en partance.
Toujours l’errance erre
C’est si peu dire.
Nathalie L E V R A Y
art-thérapie contemporaine
médiation artistique
Niort